Depuis la rue d’Alsace, le long de la Gare de l’Est, la vue plonge sur un immense plateau de marquises qui protège les quais des voies de chemin de fer. Se dégagent de ce lieu inattendu et calme des « êtres sonores » constitués de neureones articificiels, qui naissent, se développent, puis se meuvent, s’indivisualisent. Au moyen d’un apprentissage -par adaptation et mimétisme- ces sons vivants, lumières mobiles et vives, font émerger détranges langages qui se propagent, partent au loin et disparaissent. L’oeuvre est ici non seulement inventée mais apprise et développée en temps réel.
« Caresses de Marquises »
- Categories →
- Art Contemporain
- Evènementiel
- Lumière dynamique